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 Journal de Bord DE Jonass Hardène

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Azerty
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MessageSujet: Journal de Bord DE Jonass Hardène   Journal de Bord DE Jonass Hardène Icon_minitimeMar 23 Déc 2014 - 17:21

Les pages précédentes ont été abimée par de l'eau l'encre à couler elle sont illisibles.

.....

9 Novembre 19**

La mer est belle, je suis à quelques jours des maldives. Je m'apprette à entamer un nuit au temps agréable, j'ai fabriqué un système de pilotage automatique avec qui me permet de garder le cap pour l'instant cela semble fonctionner.


9 novembre 19** 21:30
Un nuaage s'est levé devant moi comme un mur noir de nuage je crois que c'est le poteau noir, c'est bizare je ne pensait pas avoir fait cap dans cette direction, surement un défaut dans mon pilote automatique, je devrais corriger cela , le vent a du tourner il commence à forcir, il ya une houle croisée qui se lève

13 novembre 19** date approximative

Je me réveille sur une plage devant une gigantesque falaise
mon bateau s'est échoué il est endomagé je ne peux reprendre la mer.
il fait jour il doit être midi
je me rappelle avoir navigué pendant 3 jours mais plutot 3 nuits enfin le soleil ne s'est pas levé durant toute cette periode à moins que cela ne me paraisse une nuit qui a durée exceptionnellement longtemps dans ma tête
je me rappelle d'un tsunami
je me rappelle de récifs
je me rappelle d'un grand requin
puis d'un grand fracas

impossible de faire le point pas assez de luminosité
il y a comme un magnifique brume épaisse
mon journal de bord est endomagé

14 novembre 19** date approximative
j'ai fait une voie d'escalade dans cette falaise inaxessible
j'ai trouvé des squellettes et des pièges qui me font penser que cette ile est habitée


15 nov 19**
cette nuit j'ai entendu des cris
je vais rester ici en attendant
je pense à des cannibales mais les cris était de l'allemand du français du russe, je trouve cela etrange je n'ai plus de repère temporel j'appellerais cette île l'île hors du temps

16 nov 19** RAS je cherche des choses sur la plage pour réparer mon bateau, étrangement il n'ya aucun gibier et aucune plante comestible sur cette île.


17 novembre un grand fracas au loin
je découvre au matin des rescapé alors que je vais me ravitailler en eau douce je fait connaissance
l'un d'eux est Peter , la Soeur s'appelle Cunegonde, un type dont j'ignore le nom semble être un scientifique , et un homme de forte carrure une gueule cassé, leur capitaine est mourant

18 novembre 19**
Je part avec eux à l'interieur de lîle pour l'explorer suite à des coups de feux qui ont resonné dans la nuit
nous découvrons des corps certains lacéré d'autres morts par balles

19 novembre nous avons marcher tout le temps pour fuir les cannibales semble q'un homme les traque dans la jungle peut être avons nous violé un sactuaire sacré pour eux

20 novembre nous n'avons toujours pas dormis nous decouvrons au loin qu'il y a un feu un camp nous nous dirigeons vers ce camp
nous decouvrons plusieurs cadavres de cannibales et aussi celui d'un homme qui as mis fin a ses jours.

Nous arrivons dans ce camp un homme à l'âge indéterminable aux cheveux roux et aux yeux bridés armé d'un épée nous attends l'homme à perdu la raison il fou à lier puis provoque le denommé Peter en duel alors qu'il y est lui même enchainé au pied

Peter le tue il semble qu'il soit gravement blessé puis au final non il n'a même pas été touché ..... pourtant j'aurais cru voir la lame du vieux rasta le transpercer.

Je m'endort je fait des cauchemars indescriptible des tas de mort des bombardement apocaltique et je me reveille nous avons été secouru nous sommes tous sur mon bateau à la dérive, je ne connait ni la position ni le jour ni l'heure qu'il est....
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matthias L
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MessageSujet: Re: Journal de Bord DE Jonass Hardène   Journal de Bord DE Jonass Hardène Icon_minitimeMar 23 Déc 2014 - 23:39


merci c'est très sympa d'avoir un récit aussi vite.

je me suis permis d'effacer l'année du journal de bord, n'ayant pas encore choisi l'année du second scénario.

j'ai corrigé un détail sur la description de l'homme "à la chaîne et au sabre".

ça fait vraiment plaisir.
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matthias L
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MessageSujet: Re: Journal de Bord DE Jonass Hardène   Journal de Bord DE Jonass Hardène Icon_minitimeMar 3 Fév 2015 - 23:40




Légendes de Polynésie


Elle était chantée par le pretre (tahua) scandant ainsi le rythme : tap- tap- tap- du maillet battant le peigne à tatouer. Pendant que le tahua "faisait la musique", il accompagnait le rythme tap-tap-tap, d'une comptine. On retrouve la chanson de geste des troubadours moyenâgeux.
Bien des légendes se rattachent à l'aspect religieux du tatouage. Pendant l'opération du tatouage, le tatoueur et le tatoués sont sous la protection du dieu Hamatakee, pourtant le dieu du Tahua et des Arioris est connu pour être Tohu.
La légende de Kena, dieu associé à la pratique du tatouage, peut expliquer la nature composite des motifs eux-mêmes.
La mère de Kena, Tiahee, pendant de nombreuses années donna naissance à des enfants prématurés. Disons plutôt des morceaux d'enfant. Des bras, des jambes, des troncs, des mains, jusqu'aux yeux et aux oreilles qui naissaient séparément, tous vivant mais ne formant pas un ensemble cohérent .
Enfin, après de longues années d'attente, Tiahee donna naissance à un garçon en entier tout à fait normal sur tous les points de vue. Tiu, le père était fou de joie et appela son fils Kena; il se réjouissait qu'un jour Kena serait un homme capable de l'aider à aller à la pèche ou au jardin potager.
Malheureusement, quand Kena est devenu grand, il était un garçon extrêmement paresseux qui n'arrivait même pas à se mettre debout. Après bien des tentatives de persuasion et des menaces, le père le jeta hors de sa maison, pendant un accès de colère.
Alors qu'il était en train de partir, toutes les pièces détachées, ses frères et sœurs se mirent à pleurer et à l'appeler. Leur mère avaient placé les parties vivantes dans un panier suspendu à la charpente de la maison. Elles voulaient toutes s'en aller avec Kena.
C'est ainsi que Kena les pris avec lui, et s'en fut à l'aventure vallée après vallée, ses parties de frères et sœurs le conseillaient et l'encourageaient. Il devint ainsi un grand héros en conquérant tous les titres d'habilité dans le maniement des armes, le lancer de javelot et beaucoup, beaucoup d'autres sports ou jeux d'adresse. Il avait en permanence avec lui ses frères et sœurs qui lui disaient dans quelle position il allait dominer, et comment gagner. C'était beaucoup grâce à cette aide qu'il était toujours vainqueur.
Alors il fut à Taaoa et se maria avec sa jolie cousine Teofio. Tefio qui possédait le pouvoir de parler et de controler les plantes .Un jour il alla à la mer et se mit à jouer avec sa planche de surf pendant des jours et des jours. Quand il rentra chez lui, il était entièrement couvert d'algues gluantes, sa femme l'abandonna avec dégoût. Il partit, errant à l'aventure, se remaria plusieurs fois, de place en place, et, enfin, il atteint Atunoa où une grande princesse était en train d'organiser la séance de tatouage de son fils aîné. Kena décida alors d'en profiter pour obtenir un magnifique tatouage et retourner conquérir sa première épouse Teofio.
Il etait desespéré.
En premier lieu, par un tour de magie et l'energie du desespoir, il se fit aussi petit qu'un enfant, afin de passer inaperçu. Ainsi, il reçu, en sept jours, un costume complet, finement tatoué. Ce qui aurait été impossible pour une personne normale; un tel costume aussi délicatement tatoué aurait pris sept années ou plus. Kena, avec sa magie, était capable de le supporter. Chaque soir, il couvrait de suies son nouveau tatouage, jusqu'à devenir entièrement noir à la fin des tatouages.
Alors qu'il avait trouvé le moyen de se faire tout petit et tout noir Il voyagea beaucoup sur un radeau tiré par un requin qu'il avait hameçonné et vola aussi sur le dos d'une aigrette cendrée et sacrée, sur l'île de Hao à Nake où il terrassa le géant mangeur d'enfant aujourd'hui on peu d'ailleur encore y voir sa tombe
Il voyagea ainsi pendant tout le temps d'une seconde enfance loin des siens 
un jour Il reprit sa taille normale et regagna la maison de son père alors qu'il avait parcouru en pirogue tous les archipels . Là, il bâtit un grand bassin carré en pierre de lave et se baigna dedans, se lava, et regagna, à la nuit, la maison de ses parents.
Quand il arriva devant la maison, un éclair illumina sa silhouette, en l'éclairant, du bras jusqu'à l'aisselle. Qu'est-ce que c'est que çà ? s'écrie sa mère! Je pense qu'il s'agit de notre fils répondit son père.
Il était alors le bienvenu de retour parmis sa famille.
Il devait se procurer des cochons et du poisson, du poipoi et des fruits, pour apporter à Atunoa pour la grande fête qui célébrait la fin du tatouage.
Le jour suivant sa mère fit la tournée des maisons amies et dit à Kena, Retournes à Atunoa, quand ce sera le jour des offrandes, la population du village apportera tout ce qu'il faut pour la fête et l'apportera à la maison de tes compagnons les Ariois. Ainsi Kena s'en fut et donna les présents.
Le matin de la fête, la mère décora son fils d'une belle parure de plumes noires d'oiseaux rares, relevée d'une plume rouge sacrée... De plus il vêtit : Un tablier réalisé avec des barbes de vieillards, des boucles d'oreilles en ivoire, un collier en dents de cachalot, des plumes et guirlandes faites en cheveux nouées aux chevilles.
Sa première femme Teofio était avec les autres femmes. Ce fut une grande fête, avec danses, chants, musiques, et surtout le grand tambour qui battait pendant qu'ils montraient leurs nouveaux tatouages à la foule.
Kena fut le plus beau de tous. Quand vint la fin de la nuit, Teofio vint du côté de Kena. Kena lui dit : viens à moi; veux-tu que nous soyons réunis à nouveau ?
Teofio accepta...mais ces soeurs quin'arretais pas parler et ne laissait plus a Tefio de liberté ne voulait pas de cette nouvelle rencontre
Tefio dit alors laissez moi je veux defequer et uriner elle emmena kena fit semblant de s'approcher d'un Banian et lui dit quand mes soeur m'appelerons tu dira "hooo" puis il s'enfuirent dans les crete pour trouver le repos
Ils trouverent un grotte au clair de lune personne ne sait ce qui serais advenu de kena et Tefio.
Par la suite kena et Tefio combattent des canibales et finissent par sauter d'une falaise pour finir dans la mer en contre bas mais Tefio mourut 

Il chercha alors l'âme de sa femme et d'autres aventure lui sont arrivée que j’écrirais plus tard.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Il y a bien longtemps, aucun oiseau ne venait pondre à Rapa Nui. Ni sur l'île, ni sur l'îlot Motu Nui. Un jour, une prêtresse nommée Hitu, vint s'asseoir au bord de la baie Hanga Nui. Posé sur une roche, gisait un crâne humain. Une ombre vint alors balayer la côte emportant le crâne avec elle. Hitu se jeta à l'eau pour s'en saisir mais ne parvint pas à l'atteindre.
La prêtresse et le crâne nagèrent ainsi jour et nuit vers l'est jusqu'au moment où se dessinèrent à l'horizon les terres de Motu Motiro Hiva (les Iles Sala y Gomez, vers le nord-est). Elles étaient recouvertes du guano blanc des oiseaux marins. C'est alors que le crâne, arrivé sur le rivage, se transforma en dieu Makemake (Divinité principale du panthéon rapa nui).
Sur Motu Motiro Hiva, vivait le dieu Haua, ami de Makemake. Il reçut Makemake et la prêtresse et leur donna à manger. Ils restèrent là un moment. 
Un jour, Makemake demanda à Haua de lui apporter un couple d'oiseaux. De retour sur Rapa Nui, il les mit en liberté sur la péninsule de Poike (à extrême est de l'île).
L'année suivante, il revint pour s'assurer que les oiseaux s'étaient multipliés. Mais il constata que les hommes en avaient mangé tous les œufs. Makemake recueillit alors les oiseaux et les emmena à Viahu (au sud de l'île). Lorsqu'il revient, les hommes avaient encore manger les œufs.L'année suivante, il emmena le couple d'oiseaux a Vai a Tare sur les hauteurs du volcan Rano Kau (à l'ouest de l'île). Les hommes laissèrent alors un seul œuf dont naquit le premier oiseau manu-tara (hirondelle de mer) de l'île.
Pour assurer une meilleure prolifération de ces oiseaux, Makemake revint encore l'année suivante. Il laissa cette fois les oiseaux sur l'îlot Motu Nui où ils purent enfin se reproduire en grand nombre. 

De là, débuta la cérémonie religieuse annuelle du Tangata Manu (L'homme oiseau). Chaque année, au printemps et en l'honneur de Makemake, l'homme qui découvrait le premier œuf de l'année était élevé à l'état de demi-dieu et prenait le titre sacré d'Homme Oiseau.


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