Chroniques des Terreurs

Chers frère et sœurs,

J'ai enfin eu accès au remède contre ce qui m'affectait, si vous en avez besoin, le temple de Shallya est chargé de la distribution.

Pendant que j'était alité, les autres ont continué leur patrouille sous les ordres de Forlan, apparemment, l'enseignement militaire avorté de Wolfgang n'a pas impressionné la direction de la milice et ils ont confié la petite unité à quelqu'un qui avait une réel expérience.

Pendant notre absence, Alffrida et moi, les autres ont été rejoint par Thrane et Serbier Masvaux, deux vétérans.
Au fil des jours, Heinz à bien fini par manqué de se perdre dans les égout, mais ils ont tout de même réussi à trouver quelque chose, un charnier composé d'hommes rats. Apparemment, ceux-xi avait été éliminé par des armes a feux, sans doute des troupes de Talabheim.
Cependant, ces créatures étaient soit en train d'entrée, soit en train de sortir du Talabastion, dans les deux cas comment ont-elles pu traversé et pour quelles raisons?

Des que je serai totalement remis, je compte bien vous rendre visite, donc à bientôt.

Votre frère, Konrad

Finalement la milice ça a du bon : on a tenté de piéger ces sales hommes-rats. Et on y est presque parvenu ! J'en ai poursuivi un, encore un esclave qui avait l'air de fuir. M'a échappé cette enflure, mais en remontant la piste j'ai trouvé un beau massacre : un beau tas de ratons à la peau bien trouée par de l'artillerie. Il y a d'autres chasseurs de skavens dans l'coin, et faut que je les trouve ! Dans le tas de cadavre, il y avait aussi un rat qui paraissait être leur chef, faudra se méfier d'autant plus que leur nid à l'air d'etre sous la ville même !!

Contre toute attente, l'alchimiste était compétent et nous a fournis un remède. J'y crois pas trop mais faut avouer que ça parait efficace, pour un temps du moins.

Mes chers compagnons !

Nos exploits enfin reconnu, on nous propose d’œuvrer pour le temple de Myrmidia avec un meilleure paie !
Je suis très intéressé par cette religion et j'avoue les cultes ne ma passionnaient pas avant...
Mais leur sens du devoir et de la justice font échos en moi. Je croise des prêtres, des guerriers, des chevaliers, des paladins et je me sens.. bien !
Après un rapide engagement à la réserve je rejoins ma couche pour y déposer mes affaires. Wolfgang m’intronise auprès de ses pairs et je fais une rapide visite des lieux.
Après une journée chargée en rebondissement et festivité pour fêter les nominations et progressions de chacun je profite d'un sommeil réparateur... mais bref.
Dans le nuit je suis réveillé brusquement par un soldat ! Nauséeux d'avoir été aussi vite sorti de mes rêves je comprends qu'une situation inédite est en cours.
On me dit de me préparer le plus vite possible, je comprends que la ville est en cours d'attaque depuis les tunnels.
On me demande de rejoindre des troupes bien plus valeureuse que moi et je comprends qu'ils sont débordés et que cela ne va pas être de la tarte.
Je lis la terreur sur leur visage et des flashbacks de Middenheim me reviennent.
Je dois être fort, c'est le moment de prouver ma valeur, pour l'ordre et pour mes nouveaux amis.
Une fois à la porte Nord des hordes de Scavens vomissent depuis les tunnels et les égouts. Je ne compte plus... La sueur, le sang se mêlent... Par le suite je suis rejoins pas mon équipe et tous ensemble nous tenons bon. Le suif est tombé...
Le soleil se lève avec des volutes vertes qui flottent dans l'air... damnation! Ces pourris essaient encore de nous contaminer !
Étrangement Heintz a l'air d'en savoir davantage sur ces drôles de créature.. de les comprendre...
Afin de ne pas éveiller les soupçons, ni attirer l'attention un petit groupe part chercher les membres de la famille de Konrad. Par chance ils reviennent sain et sauf... jusqu'à quand !?...

Cher correspondant,

L'autre nuit, les skavens ont fini par attaquer Tabalheim, surpris au milieux de la nuit, c'est mon frère qui m'a alerté. Les premiers heures ont été difficile, faire en sorte qu'ils ne sentent pas notre présence à nous cinq.
Le temps passant, nous avons pu trouver une opportunité de fuir le quartier à l'aube. Etant donné notre nombres, nous avons trouvé plus judicieux de nous séparer. J'ai pris avec moi Johann et Elise, les plus jeunes. Nous devions fuir par le nord est.
Durant notre progression, je ne compte pas le nombre de sueurs froides lorsqu'on est passé à deux doit de se faire repérer. Le quartier n'étant pas très reluisant à l'origine, les skavens avaient sortie les habitants de leurs maisons pendant leur sommeil pour les exécuter. A chaque coins de rue j'ai cru voir mes frère et sœurs étendue sur le parvis des masures. Ce n'est qu'à l'aube que nous sommes arriver à la porte et il à fallu un généreux pot de vin pour pouvoir traversé.
Malheureusement, Carla et Bianca n'étaient pas au point de rendez-vous au temple de Shallya et les deux autres semblaient contaminés par la maladie malheureusement, le temple ne distribuaient pas de remède... ma famille leur est sans doute insignifiante...
A la mi-journée, elles n'étaient toujours pas là, mais je suis tombé sur Heinz et Wolfgang qui m'ont proposé leurs aides. Nous nous sommes donc rendue au sud du Geltword, là ou mes sœurs devaient traverser. La aussi, aucune trace. Wolfgang a embrumé les gars pour que Heinz et moi puisions passer la porte.
Heureusement, mes sœurs s'étaient réfugiées dans une cache à proximité de la porte, elles s'étaient retrouvé cerné par les créature en faction. Je crois que Heinz déteste vraiment ces saloperies, il s'est glissé derrière l'une d'entre elle le sourire au lèvres pour lui planter sa lance dans le cou. Suite à ça nous avons due fuir à toutes jambes jusqu'à la porte. Poursuivi par plusieurs d'entre eux, j'ai bien pensé que l'on y arriverai pas. Certaine de ces créatures semblaient plus grandes et plus fortes que d'autre, il faudra se méfier à l'avenir, toutes ne semblent pas aussi simple à négocier.
Une fois à la porte, les nuisible qui nous pourchassaient ont été éliminé par les miliciens en place. Ils étaient heureux que quelqu'un sorte de là en vie.

Maintenant il faut que je trouve du remède et que je fasse sortir mes frère et sœurs de la ville au plus vite.

Respectueusement Konrad.

L'attaque est survenue a minuit. J’ai le sommeil léger depuis longtemps aussi le bruit des pattes griffus sur le toit de chaume n'a pas tardé à m’éveiller. Je tend ma main vers ma lance et me redresse, tendant l'oreille pour localiser la bête au bruit. Je vais pour frapper quand Leclebs jappe. En un instant la créature franchit le toit et passe à travers ma fenêtre pour me bondir dessus. Mes réflexes prennent le dessus sur mes réflexions et le rat se retrouve, convulsant, au bout de ma lance. Je le dégage de mon arme, prend mon équipement en vitesse et descend à l'entrée, Leclebs à mes basque. J'entends des cris de la rue et lorsque je sors, c'est effectivement l'enfer dehors.

C'est étrange. J'ai toujours su que ce jour arriverais. J'ai toujours eu l'estomac noué à cette idée. J'en ai hurlé, vomis. On m'a pris pour un dément. Et maintenant, alors que l'horreur s'abat, ma respiration est calme, les battements de mon cœur régulier.

Je m'engage dans la ruelle. Avoir un objectif clair : chercher les autres, puis fuir. La plus proche est Alffrida , je me dirige donc vers chez elle. La vermine grouille dans la rue, massacrant sans vergogne la population affolée. Le moindre détail compte pour la survie. Marcher d'un pas rapide et régulier. Ne pas courir : fuir leur indique notre peur, et notre peur les encourage à attaquer. Comme dans un rêve, je brandis ma lance : montrer que je suis dangereux. Ils s'attaquent aux faibles de préférence. J'entends les cris des enfants, les râles des vieillards, les lamentations des pleutres.

Je vois une gamine se fait attaquer. J'interviens, crève les monstres qui étaient sur elle mais trop tard. Son ventre est ouvert dans sa longueur, son visage tétanisé n’émet aucun son mais sa douleur et sans équivoque. Je l’achève rapidement et continue mon chemin hors de la réalité.

Un carreau d’arbalète siffle à deux doigts de ma tempe. Chanceux. Je fais volte-face et me précipite sur le rat fautif, l'embrochant avant qu'il ait le temps de recharger. Trois autres se précipitent vers moi : d'un moulinet de la lance, je dégage mon arme de la victime, la précipitant aux pieds de mes agresseurs, qui changent d'avis et fuient. Je continue. Avancer. A tout prix.

Je manque de glisser dans une flaque écarlate. Un corps est étendu au sol, son sang baigne toute la largeur de la rue. Je ne savais pas qu'on pouvais contenir autant de sang. Je reconnais un boulanger du coin. Je continue.

J’arrive chez Alffrida. Le lieu est vide. Je ne prend pas la peine de fouiller : trouver son cadavre ne m’avancerait à rien sinon perdre du temps. Nouvel objectif : trouver un quartier épargné par l’attaque.

Dans mon avancée je surveille les bouches d’égout et les toitures. A mes côtés les combats font rage. Le suif tombe. Je suis témoins de drames sur drames. Une veuve pleure son maris. Un jeune se traîne au sol, laissant sa jambe derrière lui. Un milicien meurt inutilement pour protéger une famille de toutes façon rattrapée par les rats….J’observe sans voir. Je suis en transe. Les corps innocents s'entassent. Des couinements victorieux s’élèvent. Les rares membres de la milices qui n'ont pas fuit se font submergés et finissent par tomber dans un cri de désespoir.

Près des remparts faisant la liaison entre le Suif et le quartier des guildes, une bouche d’égout isolée. Je m’y engouffre.

Enfin sauf. Alors que j’équipe mon armure, je m’autorise un geste futile. Mes mains se portent à mon visage qui me démange : mes joues sont inondés de larmes.

Cher frère et sœurs,

J’espère que vous allez bien.
Si vous en avez la possibilité, fuyez cette ville, je doute que l'on tienne longtemps entre la maladie et les assauts de ces créatures. Réfugiez vous à la campagne, celle-ci n'y sont pas dans leur élément il semblerait.
L’autre nuit, ils ont donné l'assaut sous couvert de fumigènes et mené par certains beaucoup plus imposant que les autres.
Avec Alffrida on dominaient toute la scène depuis notre perchoir. Lorsque Forlan a basculé par dessus la balustrade suite à une maladresse, on l'a tous crus perdu. Suite à ça, Heinz subit l'assaut de 3 hommes rats et lute pour sa survie, alors de Wolfgang se retrouve nez à nez avec la cible précédente de Forlan, un de ces énorme Skaven et s'en retrouva blessé. Malgré les perte qu'Alffrida et moi leur faisions subir, il en venait toujours plus.
Heinz, blessé quitta son poste et ses adversaires décidèrent de s'en prendre à Wolfgang qui par le plus grand des hasard, survécu aux assauts et c'est à ce moment, que sortie d'on ne sait ou, Forlan plante sa lance dans le crane de l'énorme Skaven, ce qui mis les autres en fuites.
Ce soir là, Forlan nous a sans doute tous sauvé.

Aujourd'hui, Forlan à été récompensé et nommé chevalier de Myrmidia, j’espère qu'il survivra assez longtemps pour profité de son nouveau statut.

En espérant survivre à ces temps troubles pour pouvoir à nouveau vous écrire.

A bientôt, Konrad

résumé du 14/05

Cher famille,

Cette journée était plutôt mouvementé.

Une gamine nous a trouvé pour nous signalé qu'une résistance se formait dans le suif mais les autorités ne font peu cas de ces pauvre bougre. On va tenter de leur apporté un peu de soutient, mais nos ressources sont limité.

Le temple de Shallya nous a convoqué pour une mission, amener du remède à un gros riche qui peu payer... vraiment des vendu.
Ce péteux, Olaf Steinzahn, a tenter de nous recruter... Comme si mourir riche était un avantage... Pfff

Avant ça, des zombies ont infester les jardins, heureusement que l'on était de passage, sans quoi, la promenade des dieux aurai été infesté. Heinz à suivit leur piste dans des souterrains. On a due renoncer à cause de leur nombre.
Les morts vivants portait une rune que Heinz avait déjà vu sur une statue, c'était la signature d'une artiste nommé Gugula Skell.

On va lui rendre une petite visite...

Haiku:
ciel orageux
coeur ténébreux
sur la barricade je fais face
Et part les rats géants, j'ai ma ratte iboise