Chroniques des Terreurs

Ici commence le livre de vos récits. Le Grand Chroniqueur a des tarifs plutôt attractifs : un background pour 30pX et un résumé pour 15 Px. C'est des occasions à saisir.
Vous pouvez prendre une couleur chacun, ou varier le style de vos postes (police, italique, citation,...). Histoire de voir au premier coup d'oeil qui parle.

Leclebs & Heintz, ratiers.


Si je connais Heintz ? Vous y voulez quoi d’abord ? Ok mais moi j’y gagne quoi dans tout ça ? Mmh… Allez, vous m’êtes sympathique : j’vous dis tout ce que je sais sur le bonhomme.

A quoi y ressemble ? Soyons honnêtes un instant :  Heintz est pas moche comme gars. Surtout si on compare avec les autres pouilleux du Suif. Il est grand heu… comm’ ça à peu près. Dans la moyenne des mal nourris du coin quoi, mais il a les bras solides et une santé de fer. Et puis il a quand même une bonne gueule avec sa tignasse châtain, et surtout son regard bleu turquin. Ses yeux là auraient pu lui même lui offrir un rabais auprès de Susie l’abricot, de la Lanterne Noire, s’il y avait pas eu le reste. Et le reste c’est son putain de métier : il est ratier !

A force de vivre avec les vermines, le gars en à pris la dégaine ! Déjà il passe son temps à traîner dans les souterrains : déjà que ceux du Suif sont pas du genre à bronzer, celui-là est carrément blanc comme un cul de laitier. Puis à patauger dans des canalisations, il est tout le temps  voûté. Mais ça passe. Non, on dit que le diable est dans les détails : Bon, il a une tache sur la pommette : un lentigo ou chaispasquoi. Mais le pire c’est le bout de ses doigts tout bouffés. L’a plus un seul ongle ! Quand on lui pose la question y dit que ce sont les rats qui les lui ont bouffé dans son sommeil. On sait pas s’y déconne… Non non. En fait le pire c’est ses chicots : l’a plus une dents sur le haut de la bouche. Ça lui donne une gueule de chèvre. Sisi, même que pour bouffer l’est obligé de tout couper en p’tit morceaux avec sa dague. Après s’est fait un dentier, c’est de vrais dents dessus j’crois, mais c’est juste pour être présentable quand il va au marché ou à la gueuse. Moi j’dis que quand il te manque trop de bouts comme ça, c’est pas sain.

‘fin bref. Le pauvre gars quoi. Et toujours à causer à son clébard qui le suis partout.  Ce chien ressemble à rien. Un p’tit terrier dégueulasse qui arrête pas de japper. Mais lui, il l’adore. En même temps c’est son seul vrai ami j’crois. Non pas qu’y connaît personne. Non c’est pas ça, c’est juste que c’est pas le genre à ce confier. Et puis l’a pas de famille. Va crever seul à tout les coups. En même temps qui voudrait se faire engrosser par le ratier hein ? Ah !

Ça fait combien qu’il s’est installé dans l’coin ?  6 ans un truc du genre. Comme je disais toujours discret le gars. Et persistant dans son métier de merde, croyez-moi ! C’est au moins le meilleur ratier de la ville , fallait au moins ça pour qu’il soit recruté par une guilde ! Il fait partis des Arbeitskräfte, c’est un peu le merdier là-bas mais au moins t’as pas à mendier des croutons.

Pour revenir à Heitz en vrai je crois qu’il a un pet au casque. Y’a un soir l’est venu ici et l’a trop bu. Il était à la table du fond là-bas. Bah d’un coup il s’est mis à gueulé comme une truie ! « ILS M’ONT RETROUVE !!! J’Y RETOURNERAI PAS !!! » ce genre de conneries. Avec son bâtard qui s’y mettait aussi ça faisait chorale. Puis y s’est enfuit et on l’a pas revenu de deux semaines. L’es revenu un soir l’air de rien. Bien sur Gros George lui a un peu pété la gueule : s’était barré sans payer, pas trop le genre de chose qui se fait ici. Mais depuis il est calme et tout. Y cache son jeu mon j’dis. Doit être dans des magouilles. C’est p’tetre ce qui lui à valu ça place à la guilde. Ou dans ce nouveau groupe dans lequel il traîne dernièrement. Celui avec l’autre là, le prêtre de  Myrmidia. Font les aventuriers y paraît. Moi j’dis il bluffe pour son temple. Et à trop attirer l’attention, ça va leur retomber tous dessus. J’veux dire vous les avez vu, leurs gueules ? C’est pas des héros, c’est des gueux ! ‘fin bref c’est pas mes oignons tout ça...

Voilà, vous savez tout ce que j’sais !

Konrad, pour vous servir...



Originaire d'Averland, je suis arrivé à Talabheim il y a déjà 4 ans avec pour bagage mon frère et mes 3 sœurs afin de suivre le maître, un marchand appartenant à la petite noblesse, que servait ma famille depuis des générations.
Mes parents ayants succombé à la maladie alors que mes frères et sœurs étant très jeunes, je les ais pour ainsi dire élevés. Je suis d'un naturel plutôt protecteur envers eux et ça peux vite dégénéré quand des « mignons » tournent trop près de mes sœurs.
Malheureusement, quand nous sommes arrivé à Talabheim les troubles fessaient rages, et même si mon maître a fuit la région en nous laissant derrière, c'est grâce à un soldat de l'armé régulière que l'on a pu s'en tiré, Gerd Berkhoff, aujourd'hui officier qu'il m'arrive de recroiser.
Pour vivre, toute ma fratrie à intégrer la guilde Arbeitskräfte, spécialisé dans les emplois de courte durée allant du dératiseur au serviteur pour les réceptions.
Le plus jeune, Johann est de ses 12ans un coursier aguerrie, il connait toutes les contre allées et ruelles qui sont des raccourcis ou qu'il vaut mieux éviter pour traverser la ville.
Elise, Klara et Bianka respectivement 14, 15 et 17ans travaillent à la guilde, leur ayant appris à lire, elle travaille directement sous les ordres du chef de celle-ci, Albrech.
Cela fais maintenant quelques mois que je travail pour un Initié Wolfgang via ma guilde. Étant données ces habitude, je pense pas qu'il aura les moyens de me rémunérer très longtemps, il a plutôt le melon pour un homme d'église n'ayant pas encore fais ses vœux, j’espère qu'il n’offensera personne avant d’être ordonné. Sinon, son cocher, Alfrida et moi allons devoir la jouer discret pour ne pas être entraîné dans sa chute.
Depuis quelque semaines, on bat la campagne passant de villages en villages à la suite de Wolfgang. Je lui ai proposé d'engager Heinz, un ratier de la guilde. Lui au moins sera capable d'assainir un minimum les lieux que nous visiterons, histoire d’endiguer un peu les maladies qui prolifères.

La vie d'Alffrida commença comme celle de millier d'autres: née on ne sait où d'on ne sait qui et élevée un peu partout... jusqu'à l'âge de 10 ans où, un jour, tout bascula.

Un après-midi ordinaire où elle faisait la manche avec son ami Banguy, un ratier unijambiste à l'odeur si incommodante qu'elle précipitait les aumônes dans l'espoir que cela fasse disparaitre au plus tôt les deux quémandeurs.
Ce jour là, donc, elle eu le bonheur de rencontrer Wolfgang. A sa vue, le coeur d'Alffrida s'arrêta net, pétrifiant son corps et son âme et la laissant ainsi la plus parfaite contemplation. Elle revint plusieurs fois dans le quartier des temples afin de croiser le chemin de cet enfant et pris peu à peu l'assurance nécessaire qui lui permit d'aller à sa rencontre.
Chemin faisant, la bonté du jeune homme lui ouvrit les portes d'un avenir meilleur et du domaine familial au coeur duquel elle fut recueilli et reçu une éducation relativement convenable parmi les domestiques.

Arrivée à l'âge adulte, Alffrida repris son chemin et devint une cochère tout à fait honorable et dont les qualités seraient trop longues à énoncer.
Toutefois les missions se faisant rares, elle mis à profit les relations qu'elle s'était faite auprès de Banguy afin de créer un réseau de ratier qui l'approvisionne régulièrement pour son commerce ambulant de petits chaussons chauds à la viande.
Cette petite affaire lui a permis de s'installer à Talabhein et de rencontrer des hommes et des femmes de tout bord. Elle affectionne tout particulièrement ses beuveries à la taverne de la gueuse truculente avec Heintz qui, malgré sa santé mentale précaire, lui prodigue toute ses connaissances, celles-ci allant de comment tricher aux cartes, enlever une tique sur un vieux cabot ou encore reconnaitre un bon ratier d'un mauvais ratier....

-Wolfgang se met à beugler dans la carriole : un mauvais rêve. M’a fait sursauter le con. Mais faut pas juger, à chaque homme son jardin secret. Moi aussi je dors mal : je les vois grouiller quand je ferme les yeux. L’équipe et moi y posons pas plus de questions.

-On a recueilli un type sur le chemin, Forlan. Bien amoché le gars, Affrida l’a rafistolé mais faudra vite qu’il se lave pour pas crever de gangrène. J’étais inquiet au début, je scrutais les arbres et tout. Mais en fait ça va : c’est qu’un troll qu’il lui a fait ça. Veut pas dire que c’est du menu fretin un troll hein. Mais… ça aurait pu être pire quoi.

-On s’y attendait, son collègue est cané. Assez sale. On a rapporté le corps à Forlan. Ça va empester la carriole et attirer les rats. Je guette.

-L’auberge est quasiment vite, à part un couple de guerriers pressés. L’endroit est surprenamment propre. Pas de trace de rats. A première vu en tout cas. Me faudrait fouiner plus. Doivent plus trop avoir de stock : normalement y’a toujours des rats. C’est bizarre. Meyer m’avait dit de me méfier de ce genre de détail. Ça aurait un lien avec ce troll ? L’équipe veut le chasser. Tant mieux : on sait jamais.

-On part à la chasse au troll donc. Ça m’enchante pas mais ce qui doit être fait doit être fait. Je joue avec Leclebs a l’arrière de la carriole : vais peut-être claquer avant le soir alors autant profiter de nos meilleurs amis.

-Le plan ? Cramer la bête à coup d’alcool frelaté, et le piéger avec une chaîne. On se fait surprendre par la bête : elle est immense et son cri à failli me paralyser sur place. Mais la mort je connais bien, alors je me ressaisis et commence à la harceler à travers les arbres.

-Le combat est long, mais le plan fonctionne plutôt bien : le troll brûle bien. Par contre il a piétiné la chaîne comme si rien n’était. Tant pis. On lui met des coups, un à un et à distance de préférence. On l’a à l’usure. La bête tape au hasard, dans le vide. Conrad s’est pris un poing en pleine figure. Il est en sang mais s’est relevé : tout va bien. Finalement Wolfgang achève le troll avec sa lance. Le monstre s’écroule. Une bonne chose de faite. Faudra brûler le corps pour pas attirer les rats.

Tout avait bien commencé, Wolfang avait eu besoin d'aide pour une livraison à un orphelinat. Un plan comme je les aime: bien payé, rapide, avec des clients pas chiants. C'était plutôt bien parti.

On a passé une nuit sur place avant de repartir pour Talabhein... impossible de fermer un oeil. Du coup quand j'arrive pas à dormir, je pense que j'arrive pas à dormir, je m'énerve et je dors encore moins. En pus le chien du ratier ronfle comme un cochon de 100kg. Enfin, je suis pas totalement sûre que ce soit le chien du ratier.

Bref, cette journée n'avait pas commencée que j'étais bien bien saoulée, j'avais qu'une envie, aller à l'auberge et me pieuter dès que possible.
Sauf que bien sûr cette journée n'a fait qu'empirer... sur le chemin on a secouru un clampin complètement frappé qui revenait d'une chasse aux trolls. Franchement, quel guignolo se lancerai dans ce genre de quête désespérée... enfin bon, je lui ai fait grâce de mes commentaires, lui aussi avait l'air d'avoir une journée pas commode... alors j'ai été solidaire et je lui ai même fait un soin. Gratis.

Comme on avait pris du retard nous avons décidé de faire une halte dans une auberge, hyper sympa avec du beau monde et beaucoup d'ambiance. Non je plaisante, nous étions les seuls clients avec un drôle de couple assez peu bavard.

Finalement on est enfin allé se coucher. Je serrai tendrement mon oreiller en peau de rat, lorsque les ronflements ont recommencés... je passait donc une nouvelle nuit de merde, ce qui concluait logiquement les dernières vingt-quatre heures.

Au chant du coq j'étais complètement cramée, mais ma bonne humeur naturelle me permit de cacher cet état à l'équipe qui n'y vit que du feu.

Puis, à un moment, ils ont commencé à s'agiter dans tous les sens et à acheter des fioles et une grosse chaine. A peine ai je eu le temps de dire le mot "micro sieste" que nous étions dans une forêt à tataner un troll. Enfin je suis pas sûre, y en avait peut être deux parce que les compagnons attaquaient régulièrement la rivière en contre bas. Du coup je me dis qu'il devait forcément y en avoir un dans l'eau.

... vivement la suite...

-Une fois le troll terrassé, le plus dur était fait... Enfin, c'est ce que je pensais. On est entré dans sa tanière, un ancien temple nain. Deux beaux coffres en pierre contenant des offrandes nous attendaient, mais évidemment c'était piégé. Je sais pas quel dieu on a profané mais il était pas content : le patron et moi on s'est choppé une belle cicatrice sur la pogne. Une marque runique... Vu l’accueil violent des statues de pierre qui gardaient les coffres, y'a pas marqué "Généreux donateur" ça s'est sur.

-Les autres sont venu à bout des quatre statues. Bon boulot. Moi de mon coté j'ai mis une partie du trésor dans mon sac : un sceptre en marbre. Pas sur qu'elle ait une utilité mais même sans ça je sens la breloque qui se revendra bien auprès des nobles ou des érudits. Ce genre de types pleins aux as adorent ces babioles anciennes.
Conrad à l'autre partie du pactole : un parchemin ancien.

-Wolfgang à failli crever d'ailleurs. Un bon coup de hache de pierre en travers du torse. Faudra le surveiller de plus près. Il paye bien et est pas trop sur notre dos, ça serait dommage de le perdre.

-On sort du temple pour voir deux Gobelins à l’extérieur. Un instant mon cœur se fige à la vue de ces petites créatures mais je me ressaisis vite et on les canes vite fait. Par contre y a l'air d'en avoir plus qui viennent du temps, alors on file vite fait. Quand le troll n'est pas là, les gobelins dansent on dirait. Pas sur que c'est une bonne nouvelle pour les gens de la régions de s’être débarrassé du troll. Tant pis ; on pouvait pas savoir. Puis y'a notre récompense...

-A Talagaad, on touche notre récompense sur le troll. Un beau pactole : 7 pièces d'or ! J'en profite aussi pour vendre mes queues de rats. Les autres se moquent mais je laisse passer : je gagne peut-être des clopinettes mais à moi seul je suis plus utile que eux tous réunis.

Des rumeurs nous viennent : officiellement Talabheim à resserré la vis pour les laissez-passer car une noble se serait faite voler des marchandises aux docks. Mais en vrai se serait pour éviter une maladie qui touche les Talagaadiens. Effectivement, y'a des gens qui toussent... Peut-être qu'il serait plus sage de rentrer vite à la ville...

-La file d'attente est interminable aux grandes portes. On recroise les deux étrangers de la taverne, ils rentrent à Taalagad. On apprend qu'ils reviennent de la guerre contre le chaos. Ils savent peut-être des choses qui pourraient m’intéresser mais semblent pas très loquace sur le sujet... ça renforce mon intérêt pour eux : le genre de truc que je veux savoir c'est typiquement les choses dont on ne veut pas parler...

-Un contingent de soldats talabheimer revient. Lui aussi de la guerre compte tenu de leur mine déconfite et leur nombre rachitique. Encore une fois je me demande ce qu'ils ont vu... C'est ce genre de personne qui seraient le plus amené à me croire.

-Au final on arrive au bout. Mais ils ne veulent pas nous laisser passer, malgré nos papiers en règle. Wolfgang à une entrevue avec un capitaine. Quand il revient, le patron nous apprend qu'ils nous proposent d'escorter des voyageurs à la porte nord pour que nous puissions rentrer. Pourquoi doivent-ils se taper une journée de voyage alors qu'une des portes de la ville est juste sous leur nez ? J'en sais rien, et de toutes façon Wolfgang à déjà accepté...

Cher soeurs et cher frere.

Mon aller retour vers Liebstedt s'est éternise et devrait durée encore quelques jours.
Enfin, ça partait mal depuis le début. D'une livraison rapide à un dispensaire, on est passé par une chasse au troll et une mission d'escorte.

Il y a quelques jours, sur le chemin du retour les cauchemars de Wolfgang m'ont réveillé de ma sieste, pour une fois qu'Alffrida conduisait en douceur. Bref comme vous me connaissez, je lui ai mis une grande gifle en prétextant le réveiller de ses cauchemars. S'en suivie une chose étange, nous avons trouvé un homme grièvement blessé sur le bord de la route, comme si Wolfgang avait entendu sa souffrance dans ses rêves.

L'homme se nommait Forlan, lui et son équipe accompagnaient un Nain nommé Gabor Nabor à la chasse au Troll. Des 4 individus, seul Forlan à survécu. Des lors qu'il a évoqué le Troll, j'ai toute suite vue le danger au fond des yeux de Wolfgang... Alffrida n'a pas été difficile à convaincre et la lueur de pièces d'or ont fondu les réticences de Heinz.

Après une nuit à Grossreiche, on est parti avec quelques bouteilles d'alcools frelatées en guise d'armes incendiaires, d'après Forlan, le feu était sa faiblesse.
Une fois le chemin indiqué parcouru, on est tombé sur une vielle tour en ruine d'un avant poste nain. Et à l'odeur, le Troll n'était pas loin et celui-ci n'a pas mis longtemps pour nous repérer. Malheureusement les dispositifs incendiaires de pointes dont nous disposions n'ont pas suffi et Wolfgang dûe se la jouer comme Gabor, il voulait sans doute une mort honorable... et contre toute attente, il est parvenu à lui infliger de lourds dégâts. Mais ceci n'a pas suffit et il s"est retrouvé à la merci de la bête. Alors que celle-ci le menaçait de sa lourde masse, je décochait une fléché en pleine t^te du troll, ce qui l'acheva.

En explorant les lieux, on est tombé sur un tunnel nain à l'abandon, sans doute la tanière du troll vu l'odeur. dans une portion du tunnel, on est tombé sur un vieux temple d'une divinité du voyage naine, identifié par Wolfgang. Et quelques minutes plus tard, Wolfang et Heinz ont profané l'endroit en voulant piller un coffre, ce qui à réveillé 4 statues gardiennes armées de lourdes haches en pierre. J'en ai rapidement éliminé une qui menaçait Wolfgang d'un coup de dague mais le danger quoique palpable, n'a pas suffit à celui-ci et il chargea contre toute logique une de ses statue tout en manquant misérablement son coup. Mais elle, elle ne l'a pas manqué et a mis hors de combat l'Initié qui a rampé pour se mettre à l'abris. (dite à Albrech que je vais sans doute me retrouver sans emploi sous peu) C'est Alffrida qui nous a sauvé la mise avec son tromblon. Et vue le prix de la poudre noir j'espere que c'est Wolfgang qui l'a fourni.
Le butin récupéré, nous avons due passer une semaine à Grossreiche le temps que Wolfgang se remette de ses blessures.

Une fois à Talagaad, au porte de la cité, on s'est aperçu que les choses avaient changé. Une suspicion d’épidémie sur Talagaad ont contrains les autorité de Tabalheim à effectuer un filtrage des plus restreint à l'entrée de la ville. Lorsque que l'on s'y est présenté, Wolfgang à été convoqué par un capitaine. Peux importe les ennuis qu'il s'est attiré, c'est nous tous qui devons essuyer les plâtres. Le capitaine nous à charger d'escorté des réfugiés à Sprotau via le nord, le sud n'étant pas sûr.

Soyez prudent avec cette histoire d’épidémie. Veillez les uns sur les autres.
En espérant que tout se passe bien pour vous, nous profiterons d'un bon repas d'ici quelque jour.

A très bientôt - Konrad

à suivre : chronique du 08/04/20

Ils sont là ! Je le sais maintenant ! Forlan à repéré des créatures qui empoisonnaient la rivière. Il dit que c’est des gobelins. Des gobelins ! Non c’est pas des gobelins. J’ai vu les traces… Ils sont là et ils préparent quelque chose. Je dois les arrêter…
La rivière est maudite. De la poudre à été trouvé sur les berges. Faut pas toucher ça, à coup sur ça transforme ton intérieur en légions démoniaques ou de la vermine va te sortir par les yeux… Faut plus boire d’eau de cette source. Jamais. Je me plonge deux doigts dans la gorge pour dégobiller toute l’eau qui me resterait dans le ventre. Puis je fais pareil avec Leclebs. Elle me mord : ma main pisse le sang mais pas grave, c’est pour son bien.

J’ai guetté toute la nuit, caché dehors. Pas fermé l’œil. Ils sont pas venu. Ils savent déjà qu’on est à leur recherche ? Dans ce cas nos jours sont comptés… Il faut se préparer. Je ne peux pas en parler aux autres, ça attirerait trop l’attention sur nous. Et ils ne me croiraient pas…

De plus en plus de malades en ville, et les portes de Talabheim sont fermées. Sont-ils au courant ? De mèche ? Ou sont-ils prévoyants ? Une chose est sure : il ne faut pas rester ici. Les locaux frappent les étrangers. Des milices arpentent les rues, torches à la main, à l’affut du moindre symptôme. Tant mieux. Ces ignares ne savent peut-être pas quoi chercher mais au moins ils veillent, et peut-être qu’ils les découragent de sortir…

Ils ont tué l’Apothicaire. Tant pis : ce ne sera pas le dernier. Ils se montrent imprudent : ils ont laissé des traces sur le toit. Je les ai poursuivis jusque dans les égouts. J’ai failli les attraper. Ils étaient juste là, dans le noir à quelques pas. Je les entendais ricaner dans ma tête. Ils me narguent. Ils savent qui je suis et jouent avec moi.

J’ai montré les poils aux autres. Aucuns n’a reconnu. Des ignares inutiles. Ou alors ils sont de mèche. Wolfgang m’a menacé de sa lance. Je crois qu’il devient fou. Il faudra le surveiller. Il envoi un courrier à un sergent de la porte. D’après la lettre de l’apothicaire lui sait. Et si l’apothicaire est mort… c’est le prochain.

Nous avons vu le condamné. Il sait ce qui l’attend, je l’ai vu dans ces yeux. Si seulement j’avais pu parler seul à seul avec lui… Il va nous faire entrer à Talabheim clandestinement. Soit nous seront en sécurité, soit nous nous jetons dans la gueule du loup.

Cher famille,

Notre mission d'escorte s'est bien passé et nous somme rentré en sécurité sur Talagaad. On a quand même croisé un trio d'ogres à l'allée mais un cochon dodu nous a servis de diversion et nous a permis de passé sans encombre.
Sur le retour, on est retombé sur Forlan, vous vous souvenez du type à moitié mort d'ont je vous ai parlé dans ma dernière lettre? Bref, il ne semble pas disposé à nous laissé et Wolfgang est tout fier d'avoir un nouvel homme de main.
On à trouvé des traces bizarre au abord de la rivière. Je dois admettre qu'au début je pensais que Forlan avait abusé de la boisson mais on fini par revenir avec des échantillons malodorants.

A notre arrivé à Talagaad, c'était le chaos. Des foules en colères qui s'en prennent à la moindre personne qui à le malheur d'éternuer... Une pure folie. Je suis heureux de vous savoir en sécurité à la capital.

Nos retrouvaille devrons attendre, la vois du sorcier est fermé et personne n'as le droit de passer, tout un groupe de Hochlander en a fait les frais et peu d'entre eux n'a survécu à l'artillerie de la porte.

On nous a conseillé un certain Widenhoft, apothicaire, pour faire identifier nos échantillons. Le malheureux ne pouvait malheureusement plus partager sa science. Un assassin s'était déjà débarrassé de lui. La fouille de sa boutique a révélé qu'il travaillait déjà sur des échantillons identiques aux notres et un lien avec le capitaine Nierhaus.
Dans sa boutique, j'ai trouvé quelques pièces d'or et Heinz sur le toit a trouvé... des poils. Suite à ça, il est partit en chasse dans les égouts... Il doit avoir besoin de repos.

Ce matin Wolfgang a menacé Heinz de sa lance sans raison apparente... lui aussi a besoin de repos.

On a réussi à contacter le capitaine Nierhaus, il à l'aire en pleine crise paranoïaque et crie au complot, une menace invisible et omniprésente.
Bref, il nous a demander de contacter un passeur sur les quais pour nous faire passé le "langue de dragon" et arriver à Talabheim. Si tout se passe bien, on devrait se retrouver sous peu.

PS, on dois aussi amener la fille du capitaine, une prêtresse de Shallya... et dire que Wolfgang n'est toujours pas ordonné...

Je me suis réveillée ce matin avec une mauvaise toux... rien de bien grave, j'en suis sûre. Mais le reste du groupe me regarde comme une pestiférée, certains prennent déjà les mesures de mes affaires. Je me demande ce que je fais encore là
... heureusement Konrad aussi semble un peu affaibli. Si j'avais été seule, Wolfgang aurait peut être essayé de se débarrasser de moi, mais comme nous sommes deux (et pas des moindre) je suis tranquille. Il est perdu sans nous.

Bref, il est grand temps de quitter ce bouge plein de souffreteux et d'aller enfin respirer un air "pur". Comme convenu nous prenons le contact d'Eliado, un gai luron fort sympathique et à l'accent chantant. Avec la discrétion qui caractérise les aventuriers de notre rang nous arrangeons un rendez vous nocturne qui nous mènera en dehors de ces murs.

La journée consiste donc à préparer notre sortie de ville avec une invitée de marque et une précieuse cargaison. Il nous faudra être prudent et limiter les risques.

Finalement le voyage se passera relativement bien, si ce n'est une attaque de Scaven dans les souterrains. Le ratier est formel, ils avaient l'air de fuir quelque chose... étrange.. nous n'irons pas vérifié quoi compte tenu de la fatigue et de la priorité pour nous de protéger Christina. Son père doit être satisfit de nos services, nous aurons peut être un bonus lorsque nous le reverrons!

Grâce aux bons services d'Eliado, nous finissons par sortir de terre et rejoignons les rues de Talabheim la bien aimée. Ce cher Wolfgang à l'air bien épuisé, il raconte à qui veut l'entendre que nous ne pouvons pas nous installer chez lui pour ne pas contaminer sa Dame. Il semble avoir oublié qu'elle a préféré quitter la ville pour s'occuper de son père. A moins qu'il ne nous cache quelque chose... hum hum

Cher frère et chers soeurs,

Nous avons réussi à contacté le passeur du capitaine Nierhaus, un certain Eladio Solorzano.
D'après sa façon de se comporté, je pense plus à un espion au ordre du capitaine qu'a un simple passeur contrebandier.
D’ailleurs, quand Eladio nous a demandé le motif de notre voyage, Wolfgang a vendu la mèche en une fraction de seconde. Si vous le rencontrez, sachez qu'il ne sais pas tenir un secret.
On a donc pris la route avec lui et la fille du capitaine, Kristiane Nierhaus, Prêtresse de Shallya.

Pour traversé le Talabastion , nous avons utilisé toute une série de tunnels, à la fois naturels et d'ouvrages nains. L'entré était non loin d'une ferme en direction de Grundach à 2 heures de marche. La traversée aurai dû duré moins de 12 heures mais nous avons croisé une bande de créatures fessant pensé à des hommes-rats. Et par sécurité, nous avons emprunté un chemin certes plus long mais plus sûr pour rejoindre notre destination.
Durant l'affrontement avec les créatures, Kristiane a fais preuve d'un sang froid exemplaire, à l'inverse de Heinz dont le pantalon sent désormais le peur. Je ne sais pas pourquoi mais celui-ci semble connaitre et avoir des antécédents avec ces créatures. Faudra que je lui demande à l'occasion.
Nous avons fini par déboucher dans une teinturerie du suif. Après quoi Eladio nous a laissé.

Pour finir, on ne pourra pas se voir tout de suite, Alffrida et moi avons des symptômes de la maladie qui se répand dehors. Comme je ne sais pas exactement si elle peux être transmise autrement que via l'eau, je ne prendrai pas le risque de vous retrouver tout de suite. Mais n'ayez crainte, le remède existe et Kristiane a déjà été soigné par celui-ci. Il ne me reste plus qu'a mettre la main dessus.

Konrad, à bientôt.

Mes compagnons d'aventures,

En ces temps troublés nous essayons de trouver une solution pour rentrer dans Talabheim, ville interdite à cause de maux rodant dans les alentours.
Au cours de nos enquêtes Alffrida et Konrad, peu regardant sur la qualité de l'eau et faisant fi du destin, étanchent leur soif à plusieurs reprises et tombent finalement malades.
La demeure de Wolfgang nous accueille plus d'une fois et nous profitons d'un repos réparateur et avons pu nous substanter.
Enfin prêts et après avoir trouvé la fameuse Kristiane nous nous engageons sous la langue du dragon. Tunnels secrets sous la montagne dans lesquels nous avons fait la connaissance de quelques scavens qui ont pris la fuite sous nos coups endiablés !
Finalement après des heures de marches dans l'humidité nous arrivons dans LA ville, débouchant d'un tunnel dans une ruelle discrète.

Forlan

Note : trois derniers résumés (Hellene, Chucky, Maoris), résumé du 12/04

Bonnes gens,

Les ménestrels ne compteront pas mes histoires car je suis un mercenaire plutôt discret. Née à Fassberg dans une famille modeste. Je me suis rapidement fais remarquer par le bourmestre local lors d'une bagarre générale un jour de marché... Disons que je fais rarement dans la finesse même si je suis d'un tempérament calme.
Plus tard j'ai été recruté par un nain dans une équipe de "tueur de troll". Une mauvaise préparation et trop de prétention de sa part nous on conduit à la défaite. J'ai vu le nain fondre sous un vomi acide et la tête arraché d'un de mes amis sous mes yeux.
Depuis ce jour je suis à la recherche d'un groupe qui sera utiliser au mieux mes compétences...

Cher famille,

Nous avons réussi à traversé le Talabastion et avons raccompagné Kristiane à son temple. Mais je ne sais pas quand Wolfgang lui annoncera la nouvelle du décès de son père... En tout cas c'est son problème.

J'ai réussi à trouver l’apothicaire qui vie dans le quartier de la dragonnière. Il s'est mis au travailler dans l'enthousiasme dès qu'il a eu en mains les document et échantillons. Il a même de quoi nous aider, Alffrida et moi avec les symptômes, faute de remède pour l'instant.

Du coup, je me remet tranquillement de cette étrange maladie dans le demeure de Wolfgang. Ne cherchez pas à me voir, je ne sais pas si cette chose est contagieuse.

De leur coté, les autres sont en trains d'obéir aux édits promulgués dernièrement. Tous sauf Alffrida et moi donc ont rejoint la milice. Ils profitent de cette activité pour veiller la nuit sur l’apothicaire.

Apparemment, ils font équipe avec deux personnes que l'on a déjà rencontrés un père et sa fille, sur eux, je ne sais qu'une chose. Ils sont plus à l'aise sur les champs de batailles qu'au milieu de la civilisation.

En espérant vous revoir bientôt. Votre frère Konrad.

Nous sommes enfin entré à Talabheim. Après ces quelques années passées ici, je commençais à me sentir chez moi... Je crois que c'était une erreur.

Deux du groupes sont malades désormais. Nous sommes allé voir un alchimiste qui affirme pouvoir trouver un remède dans les jours qui viennent. Je doute mais ne dit rien : tant qu'ils ont de la force, ils peuvent être utiles. Et ce sont des amis, autant les ménager un peu.

Le règlement de la ville se durcit : tous les hommes en bonne santé doivent rejoindre une milice. Pour quoi ? Bruler les malades ? Arrêter les gredins ? Traquer les rats-rois ? Comment sauraient-ils ? Ce n'est pas avec cette population de bras cassé qu'ils feront grand chose. A mettre tous les valides dehors, ils ne vont faire qu'empirer la situation. Mais pas le choix...

Nous avons recroisé le vétéran. Et comme je me doutais, il connait l'existence des hommes-rats. Voilà un allié de poids. Maintenant à nous de nous arranger pour utiliser ce temps de milice à bon escient. J'emprunte autant que je peux à la banque : vu comme c'est partis, il n'y aura de toutes façon plus aucun système administratif ici. J'achète armes et armures : me voilà prêt à chasser le skaven.

Holà Mes Braves,

Arrivé enfin dans la ville nous nous conduisons dame Kristiane à son temple. Nos affaires n'attendent pas et nous continuons l'enquête !

Après avoir apporté le remède chez l’apothicaire, ce dernier nous confirme pouvoir l'étudier et nous propose quelques doses pour Alffrida et Konrad, toujours malade, en échange d'un peu de protection nocturne ^^.

Alffrida accepte de m'accompagner à Rocfoyer pour témoigner de la mort du Troll.

La ville recrute les hommes pour faire des rondes en son sein. Nous formons un petit groupe une ancienne connaissance : Tarn ! Une sacré occasion de le rallier à notre cause et qui sait, peut être de l'impressionner.

Forlan

Mes compagnons d'aventure,

Nos rondes organisées se poursuivent mais mis à part quelques poivrots dans les rues nous stagnons.

Suite à une enquête dans les égouts, qui a bien failli nous coûter cher, nous apprends que des cadavres disparaissent sans raison.

Après avoir organisé un piège avec quelques corps devant l'entrée des égouts et plusieurs heures de marches dans les tunnels nous trouvons un tas de corps de Scavens mort criblés... de balles !

Dans nos têtes les théories fument : complots, bouleversements climatiques, coutumes locales des hommes-rats...

L’Apothicaire nous fait demandé et avance sur son traitement et nous donne quelques fioles d'un grog fort amélioré car il s'agit d'un poison et maladie combiné.

Aussi je tombe malade, certainement les toussotements d'Alffrida...

Forlan

Prochains résumés : résumés du 22/04 (+celui de Maoris ci-dessus)