Les talabheimers

 

Je vous laisse décrire chacun 1 PNJ max/ interlude entre chaque séance. Vous avez les mains libres pour la description tant qu'elle ne contredit pas le livre et que le PNJ est crédible. Ce personnage peut être de haut rang ou des bas-fonds qu'importe, influent ou isolé qu'importe, truculent ou taciturne qu'importe mais il doit vivre dans l'œil de Taal.
Vous gagnez 10 Px par perso,  + 5 s'il possède une illustration,  +5 si sa description comprend ce qu'il a fait durant l'Infestation (ou +5 si il provient du Taalbastion mais pas de la ville de Talabheim mais pas les deux).
À vous...


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Gros Georges

Bien que son véritable nom soit Célian, tout le monde ici, à la Lanterne noire, l’appelle « Gros George ». Si la raison du surnom « Georges » s’est perdu dans les mémoires alcoolisée des clients du bar, la raison de l’adjectif « gros, elle, est évidente. En effet Gros Georges est gros, grand, massif, musclé. C’est avant tout pour sa carrure de 2 mètres et sa mine patibulaire qu’il a été engagé comme videur dans l’un des bar les plus mal famé du Suif. Et plus que sa carrure, il sait cogner. Fort. Les clients ne comptent plus les dents malencontreusement projetées dans les choppe de bières par la puissance de ses torgnoles. Et la distance à laquelle il parvient à projeter les indésirables par la porte en fait siffler plus d’un d’admiration.

Comme tout personnel de bar, il entend beaucoup. Les potins, les ragots, les rumeurs les plus folles, les coups qui se préparent. Gros Georges sait beaucoup de chose, mais il le garde le plus souvent pour lui : malgré son apparence de brute, il est de nature prudente et, bien qu’il ne se fasse d’illusions sur certaines activités de ses patrons, tient à rester dans le légal. C’est qu’il a une nièce, Nora, dont les parents sont morts à la guerre, à s’occuper. Étant sa dernière famille, il ne veut pas la laisser orpheline.

Et puis aussi, Gros George est érudit : il a pris, en secret, des cours de lecture et d’écriture. Fait rare chez les gueux du Suif. Encore plus lorsqu’on sait qu’il ne le fait ni pour les affaires ni par nécessité mais simplement pour le plaisir : « Gros Georges » aime écrire de la poésie. Et, bien que personne n’ai jamais pu jeter un coup d’œil sur ses œuvres, il est plutôt doué. Il enseigne également à Nora, dans l’espoir qu’elle ait droit à un meilleur avenir que lui.


(Source : Harbor Thug - Lord of the Rings Card Game - Fantasy Flight Games)

Banguy,

le temps ne l'a pas arrangé, toujours unijambiste, un peu sénile et de plus en plus malodorant... toutefois il reste l'ami de toujours d'Alfrida, la famille qu'elle n'a jamais eue, son père spirituel, un bon compagnon de beuverie.

Lors de ses débuts en tant que cochère elle a sillonné de nombreuses et longues routes dans l'espoir de retrouver son vieil ami. Mais Banguy sait être discret et semble pouvoir disparaitre aux yeux des honnêtes gens, se confondant dans le décor, avec lui, les poubelles ont des oreilles... Ce n'est qu'il y a peu que les deux amis se sont enfin retrouvé.

Banguy a accepté de suivre Allfrida à Talabhein où il a recréé son réseau et son train train quotidien.

Au moins une fois par semaine Alffrida vient le retrouver pour partager avec lui un de ses chaussons, en profitant de chaque instant, car elle le sait Banguy ne vivra pas éternellement...

Albrech Marx

L’œil sévere, Albrech est le directeur de l'Arbeitskräfte qu'il a créé lui même. Il est donc le patron de Heintz et de Konrad.
Depuis ces 10 dernières années, Arbeitskräfte n'a fais que se développé et compte plusieurs centaines de membres dans toute la région. Et il aurait l'oreille attentives de nombreux soiffards de la milice.
Il est réputé pour être incorruptible et ses motivations semble entièrement tourné vers son entreprise.

Il se chuchote par ailleurs, que l'Arbeitskräfte serai le réseau d'information le plus complet de la région. Mais si c'est le cas, personne ne sais à qui cela profite.

Alina.

Alina est une artiste accomplie. Elle danse, jongle, fait des acrobaties, lance le couteau, chante même.  Elle connaît avec sa troupe un certain succès au théâtre du Damier Rouge. Toutefois elle aspire à quelque chose de plus grand.

Elle à commencé sa carrière en tant que cambrioleuse itinérante, avec son cousin Gisberd  mais ce dernier s’est fait prendre à Talabheirn il y a quelques années. Ne voulant pas la dénoncer, sa peine s’est alourdie et à la connaissance de Alina, il croupie toujours dans une des geôles des Caves.

Depuis, elle s’est rangée, l’arrestation musclée de son cousin l’ayant passablement refroidie, et y ayant elle-même échappée de peu. Elle se sert donc de son don pour les acrobaties pour des spectacles, en espérant par son art atteindre les hautes sphères et utiliser son influence ainsi gagné pour faire libérer Gisberd : Hadschieff, le maître des Caves, n’est pas insensible aux pots-de-vins dit-on, à condition d’y mettre le prix.

Jusqu’à présent,  et malheureusement pour Alina, son cercle d’influence ne dépassait pas le secteur du Fort Schwartz-Porte Nord, et la plupart de ses spectateurs n’étaient que des rustres inintéressants et mal éduqués. Toutefois, il y a un peu plus d’un mois, un jeune noble est venu assisté au spectacle, un peu par hasard. Suite à la prestation, ils ont fait connaissance et un jeu de séduction à commencé.

L’homme, un charmant Compte oisif mais respectable, est marié ; mais cela n’a pas empêché Alina de passer la nuit avec lui. Ils se sont revu depuis, en cachette, et malgré le dangereux secret de leur liaison le Compte ne cache pas son impatience de la voir. Elle l’a sous son emprise et à déjà obtenue la promesse de lui faire rencontrer le gérant d’un grand théâtre du quartier Châtelain, et de lui faire habiter la demeure des domestiques, quand sa femme sera de voyage. Toutefois ce ne sont que des mots et parfois Alina se demande qui manipule qui...


(Source : Pathfinder - human bard dancer)

Otto l’exécuteur.

Otto est un simple maillon, un rouage dans le complexe système judiciaire de Talabheim. Pourtant, nombreux sont ceux qui détournent les yeux à son passage. Car Otto est un bourreau. Son visage impassible, il l’a entraîné tout au long de ses années : il ne pas montrer de miséricorde, ni de cruauté gratuite auprès des condamné. Depuis, il garde ses traits figés par habitude. Malgré sa mine morose, Otto est pourtant un homme heureux, au mariage réussi, père de 4 filles, et 3 fils (dont certains ayant eu accès à une bonne situation !) et grand-père de 10 petits-enfants.

Otto n’est pas un homme cruel, et contrairement à certains de ces collègues, ne prend aucun plaisir à son travail, si ce n’est la satisfaction d’avoir une paye tout à fait correcte.
Si certaines crapules ont l’air de mériter leur sort au premier coup d’œil, le bourreau est parfois perplexe face à l’innocence que se dégage de certains de ses « clients ». Mais son travail est de livrer la sentence, pas la justice.

Le champ de l’absolution, du Grand Tribunal des édits, est son domaine et il loue les dieux chaque jours pour son ouïe déclinante, ce qui le garde des interminables lamentations d’agonies des suppliciés.
Il connaît bien les galeries qui relient le Grand Tribunal à la prison des Caves, car il les empruntes plusieurs fois par jour. Il sait toutefois que certains de ces dédales débouchent sur les ténèbres d’anciennes sections de la prison, d’autres caves ou geôles oubliées. Il les évites soigneusement car il lui est arrivé d’entendre des murmures provenir provenir de ses lieux pourtant abandonnés. Heureusement pour lui, cela fait maintenant un moment qu’il ne les entend plus, grâce à sa surdité !


(Portrait of Rembralt's father - Rembralt)

à suivre : talabheimers du 12/04

La souricière est la zone la plus mal famée de Talabheim. Perpétuellement dans l’ombre, au sein même des remparts, on y trouve une population troglodyte pauvre et souvent criminelle. Rare sont ceux qui peuvent se vanter de connaitre toutes les galeries qui forment les souricières, et ces derniers sont souvent des menteurs. C’est au fond d’une de ces galeries que l’on peut trouver Mémé. Nul ne sait d’où elle vient, son nom ou son âge. Mais elle vend des services. Elle soigne les furoncles, vend des potions abortives, restaure l’amour et lance le mauvais œil.
Nul ne sait où elle habite. Si vous faites partis des rares voulant acheter des services, il vous suffit d’errer au hasard dans les galeries et d’appeler Mémé au loin. Si elle vous juge comme client recevable elle apparaitra au détour d’un tunnel, sur l’instant ou au bout de plusieurs heures alors soyez patient.
Elle ne demande jamais d’argent en paiement. La plupart du temps, elle vous demandera en marmonnant de la nourriture ou des fripes. Mais si la demande faite est importante, alors elle pourra exiger de vous un troc plus exotique : l’alliance d’un veuf, le premier né d’une portée de 7 chatons ou votre propre molaire sont des exemples parmi tant d’autres.
Bien entendu elle est recherchée par la milice de la ville. Mais nous sommes aux souricières. Nul doute qu’elle a encore de beaux jours devant elle.


Mambabarang, Andrei Pervukhin

Hagen Tür du chemin du sorcier

Lothar Tür du chemin du sorcier

Ralf Tür du chemin du sorcier

Zéli Kirch

Zéli est une des figures de la mode de Talabheim. Elle a commencé dans le quartier des suifs en tant que simple couturière. Elle rapiéçait à bas cout des frusques qui, dans d'autres mains, auraient finies en haillon à peine bon à colmater une jointure de fenêtre.

Peu à peu la réputation de la discrète Zéli grandie jusqu'à gagner des quartiers moins populaires de la ville. Il devint ordinaire pour elle d'être convoquée dans des maisons bourgeoises ou des temples pour y confectionner des habits d'une grande beauté aux broderies si fines et si travaillées que ceux qui les regardaient pouvaient se perdre des heures durant dans la contemplation de ces chefs d’œuvres.

Le temps passa et il fut de plus en plus difficile pour Zéli de répondre aux commandes. Elle décida alors de forger sa propre relève en créant une école de couture destinée d'une part aux futurs employé-es de son commerce et d'autres parts, des classes réservées à l'éducation de la jeunesse bourgeoise.

Grâce à ses doigts de fée, Zéli dispose aujourd'hui d'un réseau important qui fait d'elle une des personnalités les plus influentes de Talabheim.

Le quartier du Suif vous présente Lady

prochain : talabaheimers du 22/04

Tartre

Tartre est un mendiant qui sévit au suif, en particulier au coin de la braille et dans l'allée des poissonniers. Tartre est un excellent comédien, capable même d’être présentable malgré sa pauvreté apparente. C'est souvent lui qui va aimablement conseiller et guider les visiteurs à quelques auberges de réputation. Bien entendu, il les mènera surtout à un coupe-gorge où il pourra dépouiller les corps de leurs bien. Il n'hésite pas non plus à laisser ses yeux et oreilles trainer où il peut afin d'exploiter les informations acquises par le chantage ou la délation. C'est d'ailleurs ce qui lui offre une relative impunité face aux gardes de la ville.

Prochain PNJ : talabheimer du 30/04

Le vieux Borff

Olaf Steinzahn

A 60 ans, Steinzahn a réussi sa vie. Commencant comme simple aide forgeron, il a rapidement réussi à monter une affaire dans l’armement et fournis actuellement (entre autres) plusieurs régiments de la garde de Talabheim. Du fort Shwartz au quartier des marchands, il a étendus ces enseignes sur plusieurs quartiers. Sa for-tune faite, il lui a été aisé de trouver une compagne parmis la noblesse qui lui permit d’accèder à des titre et une influence plus grande encore. Aujourd’hui l’un des homme les plus riches de la ville, il souffre néanmoins d’une étrange maladie et est prêt à payer gros pour un remède, tout en écrasant ceux qui pourrait se mettre en travers son chemin.

Dvansk Menrd Broksunn
Aux premiers abords, on dirait que Dvansk est toujours grognon. C'est faux. Parfois, il dort. Il travaille pour la brasserie Hargrinson dans la Trouée des Guildes. Son job est simple. Il transporte sur sa brouette des tonneaux de bières dans toute la ville, parfois même à Talagaad, mais toujours avec sa brouette. Musclé comme un boeuf, il aime bien lorsque les clients paient rapidement. Les clients paient toujours rapidement. Quand il a fini de livrer ses tonneaux, il boit des bières et il dort. Si quelqu'un essaie d'interrompre ce rituel immuable. Dvansk s'ennerve et il met des claques. Il y a une petite expression chez les habitués d'Hargrinson : "si tu l'embêtes, tu perds la tête."