Perles ou situations inappropriées

La liste va être longue...

"Une aberration c'est comme un poulpe mais en pire !" - Sleipnir, à qui nous n'avions rien demandé

L'autorité religieuse du village, lors d'un rassemblement, tient à remercier la personne qui a fait un don généreux et anonyme à l'Église la nuit dernière. À cet instant, Sleipnir lève la main et acquiesce en silence d'un air humble... sauf qu'il n'a jamais rien donné à l'Église.

"Si ça peut passer par devant... ça peut passer par derrière !" - Brogryn, à propos d'un bateau

"Ah mais du coup on va au même endroit en fait.
- On a qu'à se séparer pour aller plus vite !" - Raziel, qui n'a techniquement pas tort, bien que le lieu dont nous parlons soit dans la même ville

"On pourrait mimer une baleine, ils y verraient que du feu, je fais ça très bien." Sleipnir, dans une tentative de rendre notre approche en barque plus discrète

Rain fait un échec critique sur sa discrétion, le bruit qu'elle provoque résonne dans le couloir. Sleipnir et Brogryn, en bons gentlemen, essayent de rattraper le coup en parlant très fort, après quelques secondes de silence :
"(Sleipnir) Philippe... c'est toi ?
(Brogryn) ... Euh... ouais !
(Sleipnir) Euh... putain Philippe, arrête avec ton poivre !" - Sleipnir et Brogryn, pro de l'impro

On capture un ennemi humain, qu'on menotte, et ce dernier, affolé, nous propose immédiatement de travailler pour nous afin de garder la vie sauve. Voici, par ordre chronologique, les quatre phrases qui se sont enchaînées juste après cette proposition :
(Sleipnir, le barde) : Tu sais porter des valises ?
(Brogryn, le clerc) : On peut en faire un esclave sexuel !
(Rain, la magicienne) : On peut en faire une bête de somme !
(Raziel, le paladin) : Cherchez pas je vais le buter.

Raziel monte la garde près de la porte dans le repaire de bandits, épée à la main, prêt à frapper si "quoi que ce soit montre le bout de son nez". Un jeune enfant innocent, qui se trouve ici car il nous a servi de guide, passe la porte. Coup de chance, l'attaque rate grâce aux efforts de Raziel pour retenir son coup et à l'enfant qui esquive de justesse.
À cet instant, Chasseuse entend clairement Sleipnir murmurer "Oh, dommage !"

Rain lance un sort de Graisse dans le couloir. Raziel essaye de passer, il glisse et tombe.
Plus tard, voyant Raziel entouré de plusieurs squelettes menaçants, Rain lance à nouveau Graisse pour le sortir de cette situation. Raziel glisse, tombe et, désormais sans défense, se fait démonter.

Chasseuse découvre qu'un coffre est piégé. Sans prévenir Sleipnir de cette information, elle lui demande d'ouvrir le coffre. Sleipnir s'approche, crochète le coffre et esquive de justesse deux lames soudainement jaillies du coffre.
Dans son coin, on entend Chasseuse murmurer "Oh, dommage."

Nous récupérons une femme captive, et l'aidons à reprendre connaissance. Lorsqu'elle nous révèle être "originaire d'un autre plan", Brogryn lui demande alors : "Et vous êtes où par rapport au milieu ?"

"On est pas dans un conte, et t'as rien d'un prince charmant !" - Rain, à Sleipnir après que ce dernier ait essayé d'embrasser une captive inconsciente

Je suis pas d'accord ! Rain a très certainement sauvé le groupe entier en faisant glisser les gens dans la mêlée !
Malgré de regrettables dommages collateraux *regarde vers le bas*

La prochaine fois Rain lancera peut etre ce sort sous Chasseuse dans l'espoir qu'un combat salissant de femmes s'en suive

Chisto a écrit:

"Raziel monte la garde près de la porte dans le repaire de bandits, épée à la main, prêt à frapper si "quoi que ce soit montre le bout de son nez". Un jeune enfant innocent, qui se trouve ici car il nous a servi de guide, passe la porte. Coup de chance, l'attaque rate grâce aux efforts de Raziel pour retenir son coup et à l'enfant qui esquive de justesse.
À cet instant, Chasseuse entend clairement Sleipnir murmurer "Oh, dommage !"

Je tiens à préciser que c'était HRP, pour donner du drama à Raziel. Sleipnir ne se réjouit pas de la mort d'innocents.

Devant le cadavre dévêtu d'une charmante demoiselle :
Sleipnir, les chausses tendues : "Je lui rendrais bien un dernier hommage".
Brogrim, se méprenant sur le sens de ces paroles : "Très bien nous t'écoutons".

Sleipnir, se sentant obligé de préciser à mi-voix :
"Je-ne-suis-pas-un-pédophile !"

(Brogryn) J'astique mon encensoir.
(Raziel) T'as rien pour astiquer, si ?
(Brogryn) J'ai la graisse de Rain !

Je tiens à faire savoir que ma semence est vigoureuse... et abondante ! - Sleipnir

(Brogryn, parlant d'un spectre qui vient de posséder Rain) Il est DANS Rain, on est d'accord ?
(Rain, qui n'a pas bien écouté) Qu'est-ce que vous faites avec mon corps ?!

Rain essaye de faire la conversation à un apprenti croque-mort. Il s'agit d'un enfant de douze ans, plutôt discret. Voilà comment elle ouvre la discussion : " Alors comme ça... vous aimez les cadavres ? "

Sleipnir apprend que l'apprenti croque-mort auquel nous nous adressons n'a que 12 ans. Sa première réaction est de le regarder et de dire : " Je me sens supérieur à lui. "

(Brogryn) Comment s'appelle l'école ?
(Sleipnir) La Vieille École.
(Brogryn) Ok merci !
(Sleipnir, quelques secondes plus tard, se sent obligé d'ajouter) ... Parce qu'elle est ancienne.

Nous sommes infiltrés dans un lieu où nous nous faisons passer pour des médecins. Sleipnir rate un jet de médecine pour faire semblant d'ausculter une gamine de 8 ans (il fait un échec critique), ce qui le conduit à faire un geste déplacé de façon involontaire. La gamine hurle, c'est le scandale. Devant nos regards insistants, Sleipnir dit alors, hors jeu :  "Ah oui mais y a une petite salope avec des dessous affriolants !"

Dans la chambre de la victime Brogryn découvre un objet magique, une bougie de longue durée...
Prêtre de Lathandre il y voit un artéfact divin et tente de le voler.
En tant que mj magnanime je lui rappel que le vol est contraire au précepte de son dieu et que les bafoués pour une bougie... C'est plutôt ridicule

Aazheel a écrit:

Sleipnir vu par Chasseuse selon Sleipnir :

"La lourde robe noire de médecin n’était décidément pas du goût de Sleipnir. Comment inspirer le respect dû à la profession dans cet infâme mais néanmoins savant mélange de sobriété et de mauvais goût.

Sleipnir émergea de ses réflexions alors que Brogrym discutait avec une femme austère. Sûrement le genre à s’enflammer de passion à la moindre étincelle comme une flamme dévore avidement une botte de paille, pensa-t-il alors qu’il la détaillait d’un regard concupiscent. Pourtant son impuissance le laissait amer, pourrait-il un jour séduire quiconque ? Il en doutait, sans parler de la satisfaire.

La notable conduisit le groupe dans une salle, Sleipnir comme à son habitude n’écoutait pas et préférait dialoguer intérieurement avec lui-même, le seul interlocuteur qui éveillât son intérêt et qui le comprenne.

Un petit groupe d’enfants se présentât et chacun se dirigea vers un médecin. Sleipnir, toujours bon dernier à l’entendement, comprit tout de même qu’il s’agissait d’une auscultation, prétexte pour s’introduire dans la Vieille Ecole.

N’ayant pas la moindre idée sur la façon de procéder tant ses connaissances se limitaient à sa propre anatomie intime, il mimait les gestes de ses camarades en prenant un air grave et concentré. Les enfants se succédaient ainsi dans l’ennui le plus total.

C’est alors qu’il la vit. Ses ravissantes couettes dorées volaient derrière elle en un halo angélique, de petites taches de rousseur venaient illuminer son visage aux grands yeux bleus espiègles au-dessus de sa petite bouche mutine. Sa fine taille et la coupe resserrée de sa petite robe ourlée de dentelle faisait ressortir sa poitrine alors que ses volants tourbillonnaient autour de ses hautes chaussettes.

Sleipnir en resta bouche-bée..."

C'est quelques secondes plus tard que le reste de l'assemblée est resté bouche-bée.
La jeune fille blonde angélique au taches de rousseurs qui ne devais pas avoir plus de "10 ans" hurle et fuit la pièce suite à l'auscultation "invasive" de Sleipnir.
Le groupe se fait ainsi mettre dehors et des accusations pour attouchements sont alors porté à l'encontre de Sleipnir.