Carnet Noir

Ça fait plusieurs fois qu'on en parle, et je pense qu'il est temps de passer à l'acte.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore, voici le principe : ici vous déverser les tombereaux de conneries dites pendant vos parties, les non-sens fièrement proclamés, les déclarations honteuses, les "famous last words"...

Comme je viens de retomber sur mon propre carnet noir (un vrai, noir et tout), j'ouvre le bal (tout n'est pas de moi, hein, faut pas abuser, mais j'ai été témoin de tout, c'est la règle):

"La poésie, ça fait pas de pexs !"
"L'érudit qui nous guidait est mort à la suite de blessures fatales"
"Je me drogue pas, je m'amuse" (usage de drogues de combat)

Je me depeche prudemment...

- La semaine c'est combien de jours?
- Ben, 7... (ou "on est trop habitués à des univers zarbis")


- Ma sœur, ma sœur, elle a été enlevée!
- (chevaleresque) Par qui?
- (pleurant) Un troll!
- Ah, pas de bol !


- Je prends la tête du troll.
- Moi, je ne prends pas la tête du groupe !


- Y'a un convoi qui part ce matin.
- Moi je préfère un qu'on voit pas pour la discrétion.


- Elle s'est réveillée un matin, elle était mo.... non en fait elle s'est pas réveillée.


- Il mesure à peu près 1m87...



Et il en a plein d'autres dont je ne me souviens pas !

Dans un Magna Veritas,

mon groupe d'angelots enquêtait dans une petite bourgade du fin fond du trou du c*** de la France profonde.

Ils arpentaient une rue fortement pentue par une chaleur intenable et avaient décidé de faire du porte à porte pour aller à la pêche aux informations.

La rue s'appelait : "la rue d'enfer".

Et, un des PJ à lâcher tout naturellement: "On s'attend là-haut"

Ce qui à rendu à moitié dingue l'ange de Dominique du groupe...